Le soleil et la vie d'une infime
pensée
Et de par tous les lieux quand le soleil paraît
En des
matins de nuits que bouscule l'abstrait
Je ne veux ignorer le
moindre de tes maux !
Tu trouveras ma vie dénuée de
partage
Et mes incognitos évidés de mes leurres
Comme au gré
d'un bosquet l'aube d'un marécage
La douceur, la douceur des
beautés des parfums
Comme parmi la vie les choses sont sans
fin
Comme parmi la vie les choses sont sans pleures !
Et
sur la page blanche où tu as dessinée
Juste du bout d'un doigt
dont je connais le lieu
Se confondent tes mots aux miens toujours
innés
Se confond le secret d'un secret entre nous
Comme au
ciel une vie à tomber à genoux
Une vie, son miroir, où se
reflète Dieu !
Je regarde ton rire et j'entends le
bonheur
Parmi mes soubresauts, ma propre nonchalance
Et nous
avons parlé peut-être... plus d'une heure
A n'écouter que Nous
aussi loin qu'on peut être
A ce petit lieu dit, au bord de ma
fenêtre,
Et sur ta page blanche ainsi mes mots s'élancent!
Commentaires
Et c'est avec plaisir que je viendrai lire la suite de cette nouvelle, fanfan
Bonsoir fanfan, merci de vos compliments...
je vais à présent essayer de reprendre la publication de ma nouvelle... Amitiés. Alain
Bonsoir Alain, et que de jolis mots qui s'élancent, merci Alain, pour ce bel instant de poésie, mes amitiés, fanfan